Sefyu-Goulag
Avant j'comprenai pas quand mon père me prenait la tête
Quand il savait pas où j'étais et maintenant je sais c'est quoi d'être inquiet
J'passe mes nuits au fond d'une couette les yeux ouverts à ma demander si t'es au chaud
quand arrive ces terribles hivers
J'mange très peu quand j'sais pa si tu manges à ta faim
Et j'pleure en écoutant "Comme une fils" de Corneille l'orphelin
Au volant d'ma caisse, sur la corniche, je n'rêve pas de d'vnir riche
Mais plutôt, de te dire "Ich liebe dich"